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Les jeux vidéos entraînent t-ils des effets psychologiques sur le jeunes ?

5 février 2018

Définition de la jeunesse et l'addiction aux jeux vidéos

La dépendance au jeu vidéo désigne un éventuel trouble psychologique caractérisant un besoin irrésistible et obsessionnel de jouer à un jeu vidéo

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5 février 2018

Sommaire

1. Définition de la jeunesse et l'addiction aux jeux vidéos

2. Information et Prévention sur l'usage des jeux vidéo à la maison

3. L'Addiction aux jeux vidéo, un vrai calvaire pour la jeunesse chinoise

4. Cyberdépendance : « Je passais plusieurs jours sans dormir »

5. Un ado sur huit aurait un usage problématique des jeux vidéo.

6. Combattre l'addiction aux jeux vidéo

5 février 2018

Combattre l'addiction aux jeux vidéo

Dans l'immense majorité des cas, la consommation des jeux vidéo par les ados et pré-ados est avant tout... le problème des parents ! Sur le plan clinique, les véritables addictions pathologiques aux jeux vidéo sont rarissimes, même si elles sont bien réelles. Comment canaliser la fascination exercée par ces jeux sur les enfants ? Quels comportements les parents doivent-ils adopter ? Conseils à suivre.

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Les jeux vidéo : une passion moderne controversée

Les jeux vidéos sont les jeux préférés des 10-15 ans, et concernent davantage les garçons que les filles. On observe cependant qu'ils sont de plus en plus prisés par les adultes, jeunes et moins jeunes, plus souvent concernés d'ailleurs que les enfants par des comportements addictifs. Aux parents qui trouvent que leurs progénitures consacrent trop de temps aux jeux vidéos, il faut rappeler que ce sont avant tout des jeux qui présentent certains avantages objectifs : éveil, agilité mentale, stratégie de résolution, apprentissage à la coopération (pour les jeux massivement multijoueurs ou qui se joue à plusieurs sur une même console).
Au centre d'un véritable débat de société, les jeux vidéo font polémiques y compris dans la communauté des psychologues. Certains considèrent que les jeux vidéo présentent un réel danger d'addiction et de rupture avec le réel ; d'autres pensent au contraire que, sur l'ensemble de la population des pratiquants, le bilan de ces jeux est plutôt positif, même s'il ne faut pas nier l'existence de cas pathologiques bien réels (il existe aujourd'hui des consultations spécialisées en milieu hospitalier).

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Vidéo

Les précisions de la journaliste santé Claire Gabillat.

Santé médecine : Addiction aux jeux vidéo
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5 conseils pour bien utiliser les jeux vidéos

Premier conseil : s'interdire d'interdire ! L'interdiction est avant tout un puissant stimulateur de transgression que les enfants savent parfaitement bien utiliser. Interdits à la maison, les jeux seront consommés chez les amis, sur Internet ou dans les cybercafés.
Deuxième conseil : s'initier aux jeux honnis, car pour mieux sortir l'enfant du jeu, il est préférable d'y entrer avec lui ! En s'intéressant à son univers, les parents auront rapidement une représentation moins fantasmatique des jeux vidéo. Cette initiation leur permettra surtout de poser les bases d'un dialogue critique et constructif.

Ce contact est essentiel pour avancer sur la voie d'une utilisation raisonnée de la console de jeux à la maison. On est toujours plus crédible quand on sait un peu de quoi l'on parle...

Troisième conseil : fixer des règles réalistes. En d'autres termes, autoriser 30 minutes de jeux par semaine équivaut à une déclaration de guerre ! En revanche, établir un temps limite par jour (de 45 à 60 minutes, selon l'âge), préciser les lieux où les jeux sont permis (salon ou chambre), définir, en fonction là aussi de l'âge de l'enfant, quels types de jeux sont autorisés, conditionner des bonus de temps de jeu à la performance scolaire, adapter les durées de jeu, en plus ou en moins, selon la quantité des devoirs, etc., constituent autant de « trucs » qui donnent un cadre structurant à l'utilisation des jeux vidéo.

Quatrième conseil : démystifier pour ne plus diaboliser. De la pratique un peu exagérée au risque de désocialisation, il y a un monde ! Ne pas hésiter à parler des jeux vidéo avec l'enfant. Quelles sont les nouveautés ? Quels jeux l'enfant préfèrent-ils ? Pourquoi ? Faire parler l'enfant sur l'objet de sa fascination permet aux parents de mieux comprendre les ressorts de « l'envoûtement », et par conséquent d'agir à bon escient.

Cinquième conseil : proposer des moments de partage. Jouer avec son enfant est un des meilleur moyen pour se rapprocher de lui et, le cas échéant, prévenir les dérives.

Pour aller plus loin


Combattre l'addiction aux jeux vidéo

 

 

Auteur : Claire Gabillat

Source : http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/872-combattre-l-addiction-aux-jeux-video

Résumé : C'est un article qui présente des méthodes pour lutter contre l'addiction des jeunes aux jeux vidéos.

22 janvier 2018

L'Addiction aux jeux vidéo, un vrai calvaire pour la jeunesse chinoise

8 janvier 2018

Cyberdépendance : « Je passais plusieurs jours sans dormir »

 

Auteur : Florent Buisson

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8 janvier 2018

Un ado sur huit aurait un usage problématique des jeux vidéo.

Un élève sur huit aurait un usage « problématique » du jeu vidéo. C’est ce qu’indique une enquête menée auprès de 2 000 élèves de la 4e à la 1e inscrits dans 15 établissements d’Ile-de-France, rendue publique mercredi 17 décembre et réalisée par l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge*.

Avec plus de 11 écrans à domicile, les adolescents franciliens de cet échantillon sont suréquipés. 84 % d’entre eux ont une console de jeux, et 74 % une tablette. Les trois quarts des lycéens (60 % des collégiens) ont un ordinateur dans leur chambre.

De Candy Crush à World of Warcraft en passant par les Sim’s ou GTA V...le jeu vidéo est pratiqué au moins une fois par semaine par 86 % des élèves interrogés, les garçons étant nettement plus nombreux que les filles. C’est presque autant que la proportion de « surfeurs » sur Internet pour le plaisir (près de 95 %). Le temps passé devant un écran « atteint parfois cinq à six heures quotidiennes, y compris en semaine », souligne l’enquête.

« Négliger d’autres activités pour jouer »

Selon l’Institut national de la santé et de la recherche médicale, 5 % des jeunes de 17 ans joueraient entre cinq et dix heures par jour. Des chiffres bien éloignés des recommandations officielles, notamment celles de l’académie américaine de pédiatrie, qui conseillent de ne pas dépasser deux heures d'écrans par jour. Les pratiques d’écrans étant souvent concomitantes (surfer, jouer, chatter sur les réseaux sociaux, envoyer des SMS...). La plupart des adolescents jouent d'ailleurs aux jeux vidéo sur smartphone (74%), sur console (66%) , sur ordinateur (55%).

« Utilisation excessive » , « usage abusif » , « addiction » : les termes varient pour désigner des pratiques jugées problématiques et leurs possibles effets sur la santé. C’est un réel motif d’inquiétude − et souvent un casse-tête − pour certains parents. Pour identifier ces adolescents « accros aux écrans », l’OFDT a utilisé la « game addiction scale », dite échelle de Lemmens, une grille de questions servant à identifier les caractéristiques de l’addiction, comme la modification de l’humeur, les symptômes de manque, le conflit...

Sur l’échantillon de 1 693 joueurs hebdomadaires (qui jouent au moins une fois par semaine), 234 élèves (14 %) répondent à au moins quatre critères d’addiction aux jeux vidéo. « Il s’agit d’un ordre de grandeur de ce phénomène et non un chiffre représentatif de l’ensemble des adolescents au niveau national », tempère François Beck, directeur de l’OFDT. « Penser toute la journée au jeu vidéo », « négliger d’autres activités pour jouer », ou « se disputer avec l’entourage à propos du temps passé à jouer » sont fréquemment rapportés chez ces joueurs.

Fait préoccupant : dès le collège, plus de huit garçons sur dix ont déjà joué à un jeu classé PEGI 18 (système européen d’information), c’est-à-dire déconseillé aux mineurs, comme par exemple Grand Theft Auto (GTA V), Call of Duty, et Assassin’s creed. Des jeux aux contenus violents qui inquiètent les spécialistes. Si les garçons s’orientent souvent vers les jeux de rôle, d’action, d’aventure, et les jeux de simulation sportive, les jeux de gestion comme les Sims séduisent plutôt les filles, tandis que les jeux d’applications comme Candy Crush, Angry Birds ou autres solitaires, séduisent les deux sexes.

« Défaut de surveillance et de sollicitude parentale »

« La pratique excessive de jeu vidéo est souvent liée à un défaut de surveillance et de sollicitude parentale », note l’enquête. Beaucoup évoquent le fait de « ne pas parler facilement à leurs parents ni trouver du réconfort auprès d’eux », et la moitié des garçons identifiés comme « addicts » au jeu se couchent après minuit quand il y a cours le lendemain, 12 % de plus que les autres adolescents. On retrouve aussi des jeunes en situation de mal-être, ou qui ont des parents hyperconnectés. Il n’est pas toujours facile de savoir si un état dépressif est la cause de l’usage abusif de l’écran ou un symptôme.

Lire aussi : Les effets pervers d’une fascination

« Mais attention, un ado qui joue deux heures par jour, bien content que ça embête ses parents, n’est pas dans un usage problématique. Il ne faut s’inquiéter que lorsqu’il commence à y avoir une rupture des liens sociaux », tempère le psychologue Michael Stora, cofondateur de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines. « La nature des jeux est également cruciale, les jeux éducatifs et les « serious games » peuvent aussi constituer de véritables alternatives aux méthodes d’apprentissage classiques », indique François Beck.

Face à ces objets qui ont envahi le quotidien, le fait d’établir des règles (durée limitée autorisée, contrôle parental...) agit comme facteur de protection.

(*) Appelée Pelleas (programme d'étude sur les liens et l'impact des écrans sur l'adolescent scolarisé), cette étude a été financée par l'Agence régionale de santé d'Ile-de-France et le ministère de la Santé, et réalisée sous la responsabilité scientifique d’Ivana Obradovic (OFDT) a été menée durant l'année scolaire 2013-2014.


Auteur :
Source : http://www.lemonde.fr/societe/article/2014/12/17/un-ado-sur-huit-a-un-usage-problematique-des-jeux-video_4542052_3224.html

Résume : C'est une enquête qui a été mené auprès de 2000 élèves de la classe de 4eme à la classe de 1ere qui a été réalisé par

l’Observatoire français des drogues et des toxicomanies (OFDT) et la consultation jeunes consommateurs (CJC) du centre Pierre Nicole de la Croix Rouge. Cette enquête a été réalisé pour voir le temps que les jeunes passent sur leurs consoles, écrans etc...


 
18 décembre 2017

Information et Prévention sur l'usage des jeux vidéo à la maison

Auteur : Julie Caillon
            David Girard
            Richard Rouelle
Source : http://www.ifac-addictions.fr/images/outils_prevention/guide%20jeu%20video_04_2013.pdf
Resumé : C'est un site qui permet de parler de l'addiction aux jeux vidéos, de trouver des solutions pour éviter que l'on passe trop de temps sur une console mais il sert à montrer comment les jeunes peuvent passer du temps sur ces jeux.
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Les jeux vidéos entraînent t-ils des effets psychologiques sur le jeunes ?
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